Blood and Tears
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 Chrysanthe Petridis

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Chrysanthe Petridis
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Chrysanthe Petridis


Féminin
Nombre de messages : 29
Age : 33
Age : 18 ans en âge et en apparence.
Race : Lycan
Don(s) : ---
Position : Contre
Poste : ---
Arme(s) utilisée(s) : Ses crocs et un petit couteau.
Date d'inscription : 08/09/2008

Feuille de personnage
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MessageSujet: Chrysanthe Petridis   Chrysanthe Petridis Icon_minipostedLun 8 Sep - 0:58

Fiche d'identité

Nom: Petridis
Prénom: Chrysanthe
Age: 18 ans en âge et en apparence
Race: Lycan
Groupe: Lycan
Poste: ---
Don(s): ---

Caractère: Plusieurs personnes m’ont souvent complimenté sur ma douceur envers autrui. Bien sûr, je ne dis pas cela pour me vanter, je ne fais que rapporter ce qu’on me dit. De toute façon, la vantardise est quelque chose que je n’aime pas beaucoup, mais surtout, ça ne me ressemble pas. Plusieurs ne me voient pas comme quelqu’un étant égocentrique ou qui a une opinion trop haute de sois, mais plutôt comme une personne humble, qui a d’ailleurs tendance à manquer cruellement de confiance en elle, voilà pourquoi les gens ressentent le besoin de me le dire lorsque pour eux, ce que je fais est bien. Je dois vous avouer que cela m’énerve un peu parfois, mais ne voulant pas les froisser, je ne dis tout simplement rien. Rare sont les fois où je donne mon avis, car je préfère m’effacer vu ma personnalité solitaire et renfermé, mais il m’arrive de le faire et lorsque je le fais, c’est que j’en ressens vraiment le besoin. Aussi, je n’aime pas la colère et c’est un sentiment que je tente de contrôler, même si avec ma transformation, j’ai un peu plus de mal maintenant. Cependant, je réussi plutôt bien à rester calme lorsque quelque chose me déplait. Certes, il m’arrive d’insulter quelqu’un qui m’a nargué, comme tout le monde, mais là encore, ça ne fait pas vraiment parti de ma personnalité. Par contre, je suis franche dans mes propos, mais on ne m’a jamais réprimandé pour un manque de tact certain alors j’en conclus que je ne doit pas avoir ce défaut ou du moins je l’espère, car faire du mal aux gens est une des pires choses pour moi. Malgré mon âge peut avancer, j’ai une certain maturité qui peut en étonner plus d’un, mais vu ce qui m’est arrivé dans ma vie, j’ai dû apprendre à me débrouiller et donc, à acquérir une certaine expérience de vie. Aussi, je me plais à faire des activités plus intellectuel que divertissante. Non pas que lire, faire des mots croisées, écrire ou faire du sodoku n’est pas amusant, c’est simplement que les filles de mon âge s’adonne à des activités qu’ils jugent plus intéressantes (ne croyez pas, par contre, que je n’aime pas sortir ou faire la fête, je suis même toujours partante pour ce genre de chose.) J’ai toujours eu un besoin immédiat de me cultiver et de m’informer sur ce qui m’entoure puisque ma curiosité est d’une proportion plutôt titanesque, cela m’a d’ailleurs souvent mise dans le pétrin, mais par chance, je m’en suis tiré à bon compte. Aussi curieux que cela puisse paraître, je suis têtue, un trait de caractère qui me vient de mon défunt père, mais cela n’empêche pas que je sais écouter les autres, même qu’on me confie souvent des choses, car les gens aiment bien mes conseils et sait que je ne suis pas hypocrite. De toute façon, avec le peu de proches et d’amis que j’ai, je ne vois pas à qui je pourrais le dire. Un de mes plus grands défauts est sans doute le fait que j’ai une fâcheuse manie de me laisser marcher su les pieds, mais c’est sans doute parce que je n’aime pas les conflits, alors j’évite d’en avoir en ne disant pas un commentaire désagréable sur quelqu’un. De toute façon, on m’a apprit que lorsqu’on ignorait les remarques désobligeantes des autres, cela leur montrait que ça ne nous atteignait pas. En fait, étant sensible, cela m’affecte plus que je ne le laisse paraître sauf que je ne veux pas inquiéter les autres avec ce que je ressens, d’où le fait que je ne leur fait pas part de mon dérangement du moment.
Physique: On m’a toujours dit que j’avais le visage fin de ma mère, mais les yeux bruns et profond de mon père. Mon regard étant très expressif, vous pouvez y lire tout ce que je ressens comme dans un livre ouvert, mais étant souvent fuyant vu ma grande gêne, il est rare que quelqu’un peut s’y complaire de nombreuses minutes. Rare sont les fois où je souris, car mon visage est plutôt d’un grand sérieux, mais il m’arrive de le faire ce qui me donne un air davantage enfantin. En effet, mes traits respire la jeunesse et plusieurs personnes ont peine à me donner un âge précis, car ma maturité et mes traits juvéniles les campes dans l’incertitude. D’ailleurs, comme mon regard, mon visage est plutôt expressif et il m’arrive souvent de rougir, ce qui me donne une petite teinte cramoisie que je déteste grandement. Mon teint n’est pas foncé, même si j’ai du sang grec, mais il reste que si je passe beaucoup de temps au soleil, il peut s’en trouver un peu hâlé, mais ce n’est jamais quelque chose de grandiose puisque je passe la majeure partie de mon temps sous l’ombre des arbres. On m’a quelquefois complimenté sur la douceur de ma peau, mais je ne l’ai jamais trouvé exceptionnelle. Je ne me qualifierais pas de femme fatal, loin de là, puisque je me mets rarement du maquillage et encore moins des vêtements qui mettraient mes formes en évidences puisque de nature gênée, je supporte rarement qu’on me dévisage longuement. De plus, être le centre d’attention n’est jamais dans mes plans. Cependant, il peut m’arriver d’attacher ma longue chevelure brune en un chignon des plus ordinaires, mais je préfère les laisser lousse. Si l’envie me dit, je peux aussi me mettre un soupçon de maquillage, mais ce n’est jamais quelque chose de tape à l’œil. Mince, mais petite, je n’ai donc pas la taille d’une mannequine sauf que je l’aime bien, car j’ai l’impression d’être différente des autres femmes. Ma démarche mal assuré témoigne bien de ma nature renfermée et étant lunatique et rêveuse, il m’arrive souvent de fixer le vide, ce qui me donne un air légèrement perdue. Si mon visage et mon regard sont expressif, mes gestes ne le sont pas du tous, je dirais même qu’ils sont souvent hésitants et presque inexistants, mais je préfère cela aux gestes théâtrales, simple goût pour la sobriété je crois. Lorsque je me transforme un loup, je suis vraisemblablement une louve blanche, de petite taille et à l'apparence frêle et mes yeux sont bruns foncé, presque noir.

Êtes vous actif pour votre race ou au contraire neutre?
Je suis censé être neutre, mais l’horreur que font subir les vampires aux humains m’afflige beaucoup et c’est sans doute dû à ma sensibilité. J’espère grandement que les lycans aideront les humains à s’en sortir, mais l’idée qu’une guerre éclate entre les vampires et les lycans me révulse beaucoup, car je ne tolère pas la violence. Ma tendance à être pacifiste dans mes comportements et mes manières de voir les choses le démontre parfaitement bien. Certain de mes confrères et consœurs lycans ne sont pas d’accord avec moi, mais je respecte leur point de vue, car ils doivent avoir de bonnes raisons d’y tenir, tout comme j’ai les miennes.
Relations
Amoureuses:---
Amicales:---
Conflictuelles:---

Hors jeux

Pseudo/Prénom: Chrysanthe
Age: 17 ans
Comment avez vous découvert le forum? C’est un double compte. Je suis aussi Edward Wink
Votre présence? 8 sur 10
Personnalité sur l'avatar: Shiri Appleby
Fiche terminée? Non
Code du réglement? Ok by Edward
Un commentaire? Le fow manque cruellement de lycan et je voulais un autre perso alors j'ai créé ma petite Chrysanthe ^^


Dernière édition par Chrysanthe Petridis le Mar 9 Sep - 5:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Chrysanthe Petridis   Chrysanthe Petridis Icon_minipostedMar 9 Sep - 5:17

Histoire: C’est sur l’île Naxos, une île grec, que j’ai grandis et vu le jour. Tout deux grecs, mes parents n’étaient toutefois pas mariés lorsqu’ils ont décidé de vivres ensemble, mais bien sûr, cela ne les empêchaient pas de se vouer un grand amour l’un envers l’autre. C’est donc par une chaude journée d’été, un 10 Août 1991 pour être plus précise, que je naquis dans l’hôpital de l’île. Après avoir dû supporter un accouchement infructueux, ma mère espérait plus que tout que je ne meurs pas à la naissance et par miracle, malgré ma faiblesse et ma frêle apparence, je restai en vie. Mon père en fut tout aussi soulagé que ma mère puisqu’ils voulaient depuis plusieurs mois un enfant. Vu cela, il est certain que, par la suite, mes parents m’ont couvé d’amour puisque j’étais grandement désiré. Ainsi donc je devins une enfant qui, grâce à l’amour que lui procuraient ses parents, grandis dans le plus grand des bonheurs. Je me rappel les nombreuses fois où mon père m’emmenait voir les ruines de nos ancêtres et qu’il me racontait les légendes des Dieux et des Héros de l’olympe, car l’île Naxos est vraisemblablement réputé pour ses ruines de la Grèce antique. Je pouvais m’émerveiller durant maintes heures devant le temple d’Apollon ou encore, devant les deux Kouros inachevés. L’histoire des Dieux me faisait rêver et étant un passionné de l’histoire antique, mon père m’a donc transmis cette passion que j’ai encore aujourd’hui. J’ai toujours en mémoire cette grande lueur d’intérêt qu’il avait dans le regard lorsqu’il m’en parlait et inévitablement, ce qu’il disait m’intéressait. Ma mère le voyait bien et elle avait cette forte impression que l’histoire allait être un métier pour moi. Par contre, plongé dans l’innocence et l’ignorance de l’enfance, je ne savais pas que le monde allait mal et que ces êtres de légendes que l’on appelait vampires exerçaient un pouvoir horrible sur les humains, les contraignant ainsi à ne devenir que bétail pour eux. Mes parents savaient que mon futur n’était pas certain et que, même si sur notre île ainsi que sur les autres, les vampires n’y étaient pas vraiment, l’éventualité qu’ils nous prennent tous pour faire de nous des esclaves était probable et ce, même si nous n’étions pas au cœur de l’Europe. Toutefois, je les remercie aujourd’hui de m’avoir laissé dans l’ignorance jusqu’à mon adolescence, car je n’aurais pas vécu une aussi belle enfance. Cependant, malgré le fait que j’étais enfant, je pouvais discerner la légère inquiétude qui animait mes parents quant au fait que nous pouvions être séparés et cela me rendait confuse. Bien sûr, j’oubliais cela assez rapidement en allant jouer avec mes amis, mais lorsque je voyais leurs traits s’assombrir, je ne pouvais m’empêcher de me poser des questions. Je me rappel qu’une fois, un homme au teint de craie était venue parler à mes parents et qu’après son départ, ils avaient purifié la maison en faisant brûler des herbes. Ce fait m’avait étonné, mais je ne m’y étais pas attardé davantage. Ce que j’ignorais c’est que cet homme n’était nul autre qu’un vampire et qu’il allait m’enlever mon père à tout jamais.

Tout se gâta lorsque j’atteignis l’adolescence. Mes parents m’apprirent, comme prévue, que des vampires étaient entrain de prendre petit à petit possession des îles, ce qui m’horrifia bien sûr. Étant quelqu’un de relativement terre à terre, j’eus tout un choc en apprenant cette nouvelle. Plusieurs voisins disparaissaient de façon inexpliquée, ce qui semait un peu la terreur parmi la communauté de l’île et peu sortaient la nuit, de peur d’être le repas d’une de ces affreuses créatures. Mes parents me mettaient toujours en garde et mon père venait toujours me chercher lorsqu’il faisait trop noir puisqu’il voulait assuré ma sécurité, même s’il savait qu’il ne pouvait pas faire grand chose contre les créatures de la nuit. C’est d’ailleurs à cause de cela qu’il mourut et encore aujourd’hui, je m’en veux atrocement. Si je n’étais pas aller chez mon amie, rien de tout cela ne serait arrivé et je n’aurais pas eu à affronter le regard d’un vampire, mais je ne peux pas retourner en arrière et effacer le passé, même si ce serait plutôt bénéfique. Je me rappel de cette soirée comme si c’était hier et en parlé m’est toujours aussi douloureux. Il faisait noir et la pleine lune éclairait un peu les ruelles. Mon père devant, je le suivais tout en tentant de garder le même rythme que lui. La noirceur me glaçait les veines d’effroi et je comprenais ainsi pourquoi mon paternel avait hâte de retrouver la chaleur et la quiétude de la maison familiale. Le moindre bruit nous faisait paniquer et nous jetions de furtifs coup d’œil nerveux tout autours de nous, de peur que les ruelles nous réservent de mauvaises surprises. C’est alors que cette chose monstrueuse surgit de l’ombre empoignant durement mon père. Je ne pus crier, car mon cri c’était pitoyablement coincé dans ma gorge tant j’étais mortifié de peur. Mon père tenta de se défendre et il me sommait de courir, mais les larmes aux yeux, je ne pouvais pas. Quand le vampire planta ses crocs dans le cou de mon père, je courus vers lui pour l’empêcher de le mordre, mais il était trop tard et telle une poupée de chiffon, mon père s’écroula par terre, complètement vidé de son sang. Blême, je ne pouvais respirer et planter là comme une imbécile à regarder mon père mort, je ne remarquais pas que le vampire s’approchait dangereusement de moi. Il m’empoigna les cheveux et je me mis à hurler comme je n’avais jamais hurlé jusqu’à ce jour. Je me débattu comme une forcenée, mordant, giflant, griffant, mais rien à faire, il était trop fort. Soudain, il eut une vive lumière et les ténèbres envahirent aussitôt mes yeux. Encore sous le choc, je me réveillai à l’hôpital, fiévreuse et tremblotante. Ma mère éclata en sanglot lorsque j’ouvris les yeux. Elle me prit dans ses bras et les larmes roulèrent silencieusement sur mes joues. A partir de ce jour, je devins différente et ma mère entra dans une grande dépression, sitôt que je dus me débrouiller seule tout en m’occupant d’elle. Le visage fermé et triste, je ne parlais presqu’à personne. Mon seul réconfort était lorsque je lisais un livre ou que je dessinais. Plusieurs personnes de mon entourage s’inquiétaient un peu pour ma propre santé, quand celle de ma mère se dégradait à vue d’œil. Cela me frustrait, mais je n’osais leur dire. Aussi, de rester confiné en Grèce me rendait d’humeur maussade, car j’avais ce besoin criant de voyager pour découvrir le monde, malgré le fait qu’il n’était plus vraiment à son avantage maintenant que les vampires avaient pleins pouvoir sur les humains. Les gens le voyaient et c’est pourquoi une amie décida de s’occuper de ma mère. Au début, je fus réticente, mais en lui promettant de l’écrire, je fis donc mes bagages et partit à la découverte du monde.

Pour la première fois depuis des années, je me sentais libre. C’était le plus beau cadeau de mes dix huit ans qu’on pouvait m’offrir. Faisant pratiquement tout l’Europe et quelques villes de l’Amérique, je finis par m’arrêté à Londres, voulant ainsi revenir sur mes pas pour retourner auprès de ma mère, mais mes plans allaient être chamboulés. En effet, malgré les grandes précautions que je prenais pour ne pas être la proie d’un vampire, un malheur me tomba tout de même dessus. Je voulais me rendre à l’hôtel, mais on m’attaqua. J’en déduis que c’était un chasseur d’esclave, car il ne voulait pas me mordre, mais plutôt m’attacher. Hurlant et me débattant, je tentais de me défaire de son emprise, mais quelqu’un l’attaqua et j’en tombai à la renverse. Ne pensant pas à mon sauveur, mais plutôt à ma peau, je courus vers le seul endroit où je pouvais me cacher, la forêt des loups. Courant à perdre haleine, je finis par m’arrêté au milieu du boisé, fatigué et effrayé, surtout que le bois n’était pas des plus accueillants la nuit. J’avais froid, car les lieux étaient glacials. Soudain, des cris de loups se firent entendre, ce qui me fit sursauter de peur. Mes tremblements augmentèrent et une désagréable sueur froide coula le long de mon dos. Je crus distinguer une forme noire parmi les buissons, ce qui me glaça d’effroi. Je reculai et m’adossais contre un arbre, mon cœur battant la chamade. Je ne voulais pas subir une autre attaque et je me sentis faiblir, sitôt que je sombrai dans l’inconscience. A mon réveil, j’étais encore dans la forêt, mais la nuit avait fait place au jour. Je me sentais étrange et brûlante de fièvre. J’étais secoué par de terribles tremblements et lorsque je vis mon bras, j’eus un couinement de peur. J’avais une morsure et me levant à grand peine, je faillis lâcher un énième cri d’horreur lorsque je remarquai plusieurs individus affichant un air sérieux devant moi. Le plus vieux s’approcha de moi, mais par instinct je reculai, prête à lui envoyer un bon coup de poing s’il osait me faire du mal. Mon comportement agressif m’étonna d’ailleurs. Sa voix douce me parvint à l’oreille et j’écoutais ses explications attentivement. Au fil de celle-ci, un stress énorme monta en moi. J’étais devenue une lycan. L’incompréhension avait peinte mon visage. Une erreur disait-il de la part d’un jeune lycan qui m’avait prise pour une vampire. Une colère sourde commençait à poindre en moi. Qui était cette personne? Comment avait-il osé me transformer en ces choses que l’on appelait lycan? L’inconnu disait qu’il pouvait m’aider à m’habituer à ma transformation. Curieusement, sa douce voix me calmait, mais mes yeux se remplirent de larmes. Je me rendis compte à ce moment là que ma vie avait changé. Je ne pouvais plus retourner près de ma mère, seulement lui écrire, car je n’avais pas envie qu’elle me voit dans cet état. Cet inconnu m’offrait de me joindre à eux et de partir si l’envie m’en prenait. Il connaissait ce que je vivais et voulait m’aider. Je ne pouvais résister à cette proposition, mais je m’enfui. Pourtant, après une semaine de mûres réflexions, je revins vers eux après avoir subit ma première transformation en louve, qui fut d’ailleurs extrêmement douloureuse. J’avais besoin d’aide, car je ne saisissais pas ce qui m’arrivait et je ne saisis pas encore tout à fait aujourd’hui, voilà pourquoi je suis encore dans le clan d’Anders Anderson.
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